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Alone prod (30/09/2010)

CD 13 titres 

1.      Surprise
2.      Crowel
3.      Le Pas
4.      Hérésie
5.      Abandonné
6.      Suicide
7.      Sans Retour
8.      Black
9.      Apocalyps
10.    Le Choix
11.    Nada
12.    L’Ange Déchu(e)
13.    La Fin

Crédits
Basse – Alien Marteens
Batterie – Charly
Guitare – Vox
Chant, clavier, programmation – Jacquy Bitch

Ce qu’ils en disent :

Après quelques secondes d’introduction lugubres à souhait, « When Wall Cry » démarre furieusement sur l’incendiaire « Surprise », un death-rock épique qui donne le ton d’un disque qui impose un son goth frontal et puissant. Rarement Jacquy Bitch aura bénéficié d’une telle production; cela altère certainement les manifestes stigmates de l’esprit batcave initial. Moins bancale et instable la musique perd en folie chaotique mais gagne en présence et se fait tribale et combative. De la somptueuse ouverture à l’acmé « Hérésie », l’album sait alterner moments de tension et titres plus lents et reptiliens. Une reprise du classique « Suicide », totalement revu et corrigé par rapport à la version du EP de 1995, s’inscrit au coeur du disque, sans pour autant surpasser l’original, elle manifeste le son actuel de Jacquy Bitch, dense, massif et presque rutilant. « When Wall Cry » a dans ses veines une formule secrète qui depuis Neva donne des couleurs uniques à la musique de Jacquy Bitch, désormais survoltée et triomphante.
Trinity – novembre 2010 – par Silver Edward

La musique de Jacquy Bitch est comme le bon vin, plus elle vieillit plus elle est délicieuse, raffinée…A trois ans d’écart, notre homme nous aura sorti coup sur coup ses deux meilleurs albums à ce jour . ‘Stories from the old years’ avait amorcé le tir de magistrale manière et cette nouvelle galette confirme en affinant encore la démarche. Un soin tout particulier semble avoir été apporté à la production, chaque détail ayant été mûri et soigneusement pensé; il faut dire que les musiciens accompagnant Jacquy ne sont pas des manchots puisqu’on y trouve des membres de Brotherhood of Pagans et visiblement, l’alchimie fonctionne bien. Après une ouverture en forme d’incantation orientale, ‘Surprise’ donne le ton: de l’excellent deathrock aux ambiances riches et plus l’album avance, plus c’est bon. Ecoutez donc ‘Hérésie’ avec son jeu de batterie tribal, ses guitares hypnotiques, ‘Abandonné’, plus appuyé et complété d’un discret clavier du plus bel effet, ‘Suicide’ (peut-être la meilleure composition avec ‘Le choix’) qui défie les formations américaines sur leur propre terrain ou encore ‘Sans retour’ avec sa magnifique intro à l’orgue. Je pourrais vous dresser tout un inventaire puisque ‘When walls cry’ ne contient pas la moindre faiblesse, chaque chanson se révélant pleine de potentiel, tantôt plus rythmée (l’utilisation d’une vraie batterie conférant un dynamisme bienvenu), tantôt plus axée sur les climats, participant à la diversité et la richesse musicale d’un disque fort en mélodies de choix…Vocalement, rien à dire non plus, c’est du Jacquy Bitch en grande forme. Bref, vous l’aurez constaté, je ne suis pas avare en compliments; voilà effectivement un disque qui m’a totalement secoué. Amateurs de deathrock, j’espère que vous lui réserverez l’accueil qu’il mérite !
Guts of Darkness – octobre 2010 – par Twilight